D'autres membres du mouvement "Wonkaï 2020", qui signifie "En avant pour 2020" (en langue locale soussou), interpellés en même temps que Takana Zion, ont été libérés dans la soirée de mardi.
Dans la matinée de ce même jour, ce collectif avait drainé du monde pour son carnaval culturel parti de l'esplanade du stade 28 septembre pour rejoindre le boulevard Telly Diallo de Kaloum -centre administratif et d'affaires-, point d'arrivée de la manifestation. C'est là que des échauffourées ont éclaté entre les forces de l'ordre et des manifestants. Dans la foulée, la police a procédé à des arrestations.
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