Plusieurs résolutions ont été décidées à l'issue des travaux du "dialogue national inclusif" initié par le président du Mali, Ibrahim Boubacar Keita.
La cérémonie de clôture a été marquée par la présence de l’ancien président, Amadou Toumani Touré, de retour au Mali après plusieurs années d’exil au Sénégal.
Parmi ces résolutions figurent, entre autres: l’organisation d'élections législatives, l’organisation d’un référendum constitutionnel, la révision de certains articles de l’Accord de paix conclu à Alger, ainsi que l'instauration d'une "sécurité pour tous".
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Les problématiques concernant la gouvernance, la jeunesse, la construction d'infrastructures routières pour désenclaver les régions du centre et du nord du Mali ont également été au centre des débats de ce dialogue.
Si ce dialogue national inclusif a été marqué par un boycott de la part des membres de l'opposition malienne, signalons que ceux de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), alliance de groupes rebelles créée en 2014, ont pris part à la phase finale de ce dialogue.
Voici, à cet égard, les réactions sur ces problématiques de citoyens maliens, interrogés par Le360 Afrique.