Le sit-in souhaité par le Mouvement du 5 juin (M5-RFP) aurait été infiltré par les bandits qui ont cassé, brûlé et emporté du matériel des services publics ainsi que de paisibles citoyens.
Lire aussi : Vidéo. Mali: après les violences en fin de semaine, un réseau d'associations appelle à la désobéissance civile
Ces actes ont fini être réprimés par les forces de l’ordre. Précisément, par les forces spéciales antiterroristes (FORSAT). Les échauffourées ont fait environ une vingtaine de morts et près de 100 blessés.
Les manifestants continuent de demander la démission du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta. Au regard de cette situation, les Bamakois expriment leur désolation.