Tous veulent travailler en synergie au développement du football africain, mission incompatible avec des querelles pour des postes. Un consensus qui propulse Motsepe aux commandes et laisse entiers les soupçons d’ingérence de la FIFA.
Après la validation de la décision matérialisant le retrait des trois candidats au profit de de l’homme d’affaires sud-africain Patrice Motsepe, qui devient de facto président de l’instance footballistique continentale pour 4 ans, le président de la FIFA, Gianni Infantino, a loué cette démarche, estimant que la victoire en football exigeait une harmonie et un jeu d’équipe.
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Ainsi, les différents candidats à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF) ont décidé de travailler ensemble au développement du football sur le continent.
Pour sa part, Abdoulaye Thiam, journaliste sénégalais, salue cet accord qui va permettre à tous ces anciens candidats de se mettre au service du football africain et de mettre en place la stratégie la plus approprié en vue de mobiliser les ressources nécessaires au développement de ce sport sur le continent.
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Brahim Sow Deyna, responsable de la communication à la Fédération de football de la République Islamique de Mauritanie (FFRIM) est du même avis.
Il salue la validation de l’accord de Rabat entre les différents candidats à la présidence de la CAF et insiste sur les enjeu d'un travail en équipe, loin des batailles personnelles pour le poste de président de la CAF.