La cérémonie s’est déroulée en présence de plusieurs membres du gouvernement, des membres du Conseil national de la transition (CNT), des leaders religieux et des diplomates accrédités en Guinée. Notons que 250 personnes prennent part à cette édition du Concours national de lecture, de mémorisation et d’interprétation du Coran.
A l’occasion du lancement de la compétition, le ministre secrétaire général des Affaires religieuses, Karamo Sangaré, est revenu sur l’aspect organisationnel avant de rappeler l’importance de cette compétition: «Nous avons organisé cette rencontre en synergie avec le Royaume d’Arabie saoudite. Sa Majesté le Roi Salmane Ben Abdoul Aziz Al Saoud est un grand contributeur au développement et la réussite de cette organisation. L’année dernière, le premier de chaque catégorie a remporté un prix d’une valeur de 15.000 dollars».
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Cheik Mohamed Lamine Bah, conseiller principal au secrétariat général des Affaires religieuses, explique les modes de sélection et l’attente des organisateurs: «Ces candidats qui vont concourir sont les meilleurs parmi les meilleurs, parce que chaque organisation habilitée à proposer des candidats a fait d’abord une présélection à son niveau. Quant aux attentes, ce sont celles qu’on peut attendre de quelqu’un qui maîtrise le Coran, à commencer par la bonne éducation. C’est ce qui mettra notre pays à l’abri des dangers de la drogue et de la dépravation sociale d’une manière générale.»