Le Cameroun totalise 20 participations à une phase finale de la Coupe d’Afrique des nations de football. 20 participations devant l’Algérie, le Nigéria et la République démocratique du Congo qui ont participé 19 fois, le Maroc 18 fois.
Le Cameroun vient après l’Egypte, la Côte-d’Ivoire et la Ghana qui sont respectivement à 25, 24 et 23 participations à cette compétition continentale. Cinq fois champions d’Afrique au en 1984 en Côte d’Ivoire, en 1988 au Maroc, en 2000 au Ghana-Nigéria, en 2002 au Mali et en 2017 au Gabon, le pays de Roger Milla et de Samuel Eto’o Fils se classe ainsi devant certains pays qui ont marqué de leur empreinte cette compétition continentale.
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Les Camerounais, et surtout les fans des Lions indomptables, sont unanimes sur le fait que la force de leur équipe provient de sa cohésion permanente. Pour conforter leur opinion, nombreux estiment que l’équipe camerounaise de football a régulièrement connu des problèmes en son sein, mais ceux-ci ont toujours été très vite surmontés pour laisser place au football, l’opium du pays.
Pour d’autres, il ne faut pas quitter des yeux la logique qui voudrait que le Cameroun a toujours eu de grands joueurs de football qui transmettent leur génie de génération en génération. De grands joueurs à l’image de Mbappé Leppé, Théophile Abéga, Roger Milla, Michel Kaham, François Omam Biyick, Patrick Mboma, Samuel Eto’o Fils et bien d’autres qui ont donné des fortes sensations au pays tout entier.
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Avec les générations d’hier et celles d’aujourd’hui, le Cameroun est le premier pays africain à atteindre les ¼ de finale d’une Coupe du monde de football. En 1990, le Cameroun avait battu au passage, la grande formation de l’Argentine de Diego Maradona. Le pays a été sacré champion olympique lors des jeux de 2000.
Un palmarès qui alimente des soupçons de pratiques de la magie auprès d’autres pays et certains analystes du football. Pourtant, de Yaoundé à Douala, en passant par Bafoussam, les supporters du Cameroun affirment que leur nation tient ses victoires de sa qualité du jeu et de la rigueur des entraîneurs nationaux. Pour la majorité, le simple fait de se considérer comme un lion, roi de la forêt, amène chaque joueur à se réaffirmer sur l’aire de jeu et à donner le meilleur de lui-même pour le bonheur de tout le pays.
