Maroc: l’AMCI et le CRATSE-LF signent une importante convention dans le domaine spatial au profit de l'Afrique

De droite à gauche: Mohamed Methqal, Ambassadeur et directeur général de l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) et Anas Emran, Directeur du Centre régional africain des sciences et technologies de l’espace en Langue française (CRATSE-LF).

De droite à gauche: Mohamed Methqal, Ambassadeur et directeur général de l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) et Anas Emran, Directeur du Centre régional africain des sciences et technologies de l’espace en Langue française (CRATSE-LF).. DR

Le 17/06/2018 à 18h00, mis à jour le 17/06/2018 à 18h06

L’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) et le Centre régional africain des sciences et technologies de l’espace en langue française (CRATSE-LF) ont signé une importante convention, le vendredi 14 juin courant, au profit de la communauté des scientifiques du continent.

Dans le cadre du renforcement de la coopération Sud-Sud entre le royaume du Maroc et le continent africain, Mohamed Methqal, Ambassadeur et directeur général de l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) e,t Anas Emran, directeur du Centre régional africain des sciences et technologies de l’espace en Langue française (CRATSE-LF), ont signé le vendredi 14 juin 2018 une importante convention au profit des scientifiques du continent.

Cette convention a été signée en présence de nombreux ambassadeurs africains accrédités au Maroc.

Selon l’AMCI, «cette convention va permettre de faciliter et développer la collaboration entre l’AMCI et le CRASTE-LF, en mettant à la disposition de la communauté scientifique africaine les méthodes les plus efficace de formation et de recherche en matière de sciences et technologies spatiales».

En plus, dans le cadre de cette convention, l’AMCI s’engage à octroyer des bourses d’études aux cadres et étudiants des pays africains qui se forment dans le domaine des sciences et des technologies spatiales.

En outre, cette convention permettra de consolider leurs capacités et de tisser des partenariats avec des parties tierces, via l’organisation de séminaires, colloques, visites et missions d’expertise, et rencontres scientifiques au profit des pays africains.

Une convention qui vient à point nommé au moment où de nombreux pays africains s’intéressent au domaine des technologies spatiales, nécessaires pour le développement dans de nombreux domaines.

Par Moussa Diop
Le 17/06/2018 à 18h00, mis à jour le 17/06/2018 à 18h06