La grande première dans l’histoire de cette compétition, c’est qu’une bonne partie des tickets est vendue en ligne afin de décentraliser l’achat. Mais quelques semaines après la mise en ligne de ces tickets, rupture de stock! Les supporters ont eu du mal à s’en procurer physiquement malgré la communication du COCAN sur les points de vente des tickets. «Quand on va sur le site, on dit qu’il n’y a plus, on se rend dans les lieux de vente, il n’y en a pas également. Qu’on nous montre où les avoir. La CAN est organisée chez nous, et donc nous voudrions suivre les matchs au stade et non à la télé», se plaignent-ils.
Des supporters ivoiriens à Abidjan.. le360 Afrique/Djidja
Lors des différents matchs amicaux en Côte d’Ivoire, peu de temps avant et même pendant la CAN, certains Ivoiriens ont accusé les instances organisationnelles des matchs d’avoir vendu des tickets à des revendeurs. Selon eux, de nombreux revendeurs en ont profité en augmentant de manière exagérée les prix des billets. Les billets au marché noir étaient revendus au prix double.
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Alors que selon la CAF, organisatrice principale de cet événement, toutes les plateformes de billetteries sont disponibles, chacun peut se procurer son ticket, «le début de la compétition a été marqué par des problèmes au niveau de la billetterie». Et la Confédération africaine de football de faire savoir que «le système fonctionne actuellement de manière satisfaisante».
Si tel est le cas, force a été de constater que sur une capacité de 60.000 places que pouvait accueillir le stade Alassane Ouattara d’Ebimpé, seulement 38.000 spectateurs étaient dans les gradins de ce stade. A peine la moitié.
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Suite aux spéculations des uns et des autres, le Premier ministre ivoirien avait rassuré et annoncé prendre en main la situation afin de normaliser les choses.
Vivement donc que cette histoire soit résolue afin de permettre à tous ceux qui désirent se rendre aux stades de suivre les matchs de plus près et vivre l’ambiance folle de la CAN.
