En Tunisie, le coup de force du président fait craindre un recul des libertés

Le portail du Parlement tunisien barricadé le 26 juillet 2021 par l'armée tunisienne.

Le portail du Parlement tunisien barricadé le 26 juillet 2021 par l'armée tunisienne. . Yassine MAHJOUB / AFP

Le 22/08/2021 à 15h44

Arrestations, interdictions de voyage et assignations à résidence visant magistrats, députés et hommes d'affaires: la "purge" anticorruption enclenchée par le président depuis son coup de force de juillet suscite inquiétudes et craintes d'un recul des libertés en Tunisie.