Samba Olivier, originaire du Congo Brazzaville, affiche la flamme de l’art depuis sa plus tendre enfance. Et après de nombreuses pérégrinations un peu partout en Afrique, l’artiste congolais a posé son baluchon à Nouakchott.
Il travaille depuis plusieurs années avec le festival international «Assalam Aleikoum Culture» de Monza Kane, une plateforme dédiée à la musique et aux arts plastiques.
Olivier Samba parle de son premier passage en Mauritanie, marqué par une brève collaboration avec le conservateur de la musique. Et après un séjour au Sénégal et au Niger, il revient s'installer définitivement en Mauritanie.
L’artiste revient également sur ses premiers pas au Congo, l’évolution de sa carrière avec l’atelier nomade, et livre tous les axes du travail avec Monza. Une collaboration en symbiose à travers un esprit riche en création, donnant à l’art une inspiration sans limites.
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L'artiste récupère des pneus et des bouteilles destinés à la réalisation de diverses formes d’abris, des scènes multiples. Ainsi, il fait des sculptures, des scènes, des pièces, des tableaux,... à partir d'objets jetés et récupérés.
Maimouna Diop, collaboratrice de la plateforme «Assalamou Aleikoum Culture» apprécie hautement les qualités d’artiste d'Olivier et admire son travail au quotidien.
Témoignage identique de la part de Big Collaborateur Zaza, qui ne trouve pas des mots assez forts pour apprécier la qualité des œuvres de Samba Olivier.
Alfred MBemba, DG de la Fondation «Noura», qui travaille dans la réinsertion des détenus, apprécie au plus au point le travail de l’artiste, dont les réalisations servent grandement aux personnes en conflit avec la loi, dans la perspective d’un retour réussi au sein de la société.
