«La date des prochaines élections législatives sera fixée le moment opportun, conformément aux dispositions (...) de la Constitution», dit le texte.
Le président Embalo invoque la «complicité» entre la Garde nationale et «certains intérêts politiques au sein même de l’appareil d’Etat».
«Après cette tentative de coup d’État menée par la Garde nationale et devant les preuves fortes de l’existence de complicités politiques, le fonctionnement normal des institutions de la République est devenu impossible. Ces faits confirment l’existence d’une grave crise politique», dit-il.