"Au Mali la détention préventive ne peut excéder trois ans, mais mon client et ses co-accusés ont passé sept années en prison", se défend Me Cheick Oumar Konaré.
Et d'ajouter, "si cette libération permet de conforter le climat social, c'est tant mieux".
L'avocat du général Sanogo ne termine pas sans rappeler que la cour a statué uniquement sur la demande de liberté provisoire et que le fond du dossier reste pendant devant la justice.
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