Le feu était reparti lundi après-midi, après une accalmie, et les pompiers ont lutté dans la soirée avec des vents forts dans la ville portuaire.
"Le feu a été attisé par des vents forts de sud-est mais les pompiers ont réussi à le maîtriser juste avant minuit" (22H00 GMT), a indiqué Jermaine Carelse.
Mardi matin, "juste avant cinq heures" (3H00 GMT), "il y a eu une petite reprise de flammes mais les pompiers ont réussi à l'éteindre", a-t-il encore précisé.
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Dans la matinée, quatre camions de pompiers étaient encore à l'oeuvre et une vingtaine de pompiers "pour suivre l'évolution de la situation sur la journée", a-t-il encore précisé.
Dimanche, la salle boisée aux fauteuils en cuir où siègent les députés avait été totalement dévastée.
Dans cette partie la plus récente du vaste édifice composé de trois bâtiments construits à différentes époques, les pompiers avaient d'abord dû battre en retraite dimanche face à l'intensité du feu. Mais ils avaient réussi à dompter les flammes pendant la nuit, laissant alors apparaitre une carcasse noire et trempée, tristes restes de la Chambre.
Un homme de 49 ans a été arrêté dimanche dans l'enceinte du Parlement et inculpé pour "vol avec effraction et incendie criminel". Il devait être présenté mardi à la justice.
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Le feu avait pris à l'aube dimanche, dans l'aile la plus ancienne de l'impressionnante bâtisse, dont le toit a été entièrement détruit.
Selon les enquêteurs, l'incendie s'est déclaré dans deux foyers distincts et le système d'extinction automatique n'a pas fonctionné correctement car l'eau était coupée.