Les transporteurs mauritaniens saluent cette mesure, de nature à donner un nouvel élan à leurs activités durement impactées par la pandémie et remercient les autorités des deux côtés de la frontière.
Cependant, ils sollicitent, avec insistance, une révision des règles relatives au pass sanitaire. Ce document apparait comme la véritable bête noire des acteurs du transport sur l’axe Mauritanie-Maroc.
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Alioune Kountawi, transporteur, salue la mesure d’ouverture intégrale de la frontière et remercie les autorités des deux pays. Cependant, il proteste contre les exigences liées au pass sanitaire, dont la durée de validité est trop courte et le coût trop cher.
Même son de cloche chez Mel Aynine Mohamed, qui estime que la mesure d’ouverture de la frontière dans les deux sens, aux voyageurs de toutes les nationalités, est positive. Mais il se plaint des règles relatives au pass sanitaire, délivré contre 2.000 ouguiyas (soit près de 50 euros), sans tenir compte des risques liés à d’éventuelles pannes.
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Cheikh Mel Aynine, tempête également contre les conditions du passe sanitaire et les obligations relatives au dédouanement des marchandises, jugé trop cher et rendant peu rentables les activités du petit commerce.
